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Dans le sujet : Le FC Sochaux dans les médias

21 juillet 2025 - 17:43

Il y a dix ans, le FC Sochaux était vendu par Peugeot à Ledus : le début des problèmes

 

Dix ans après, toujours incompréhensible

Dix années sont passées, mais le mystère est toujours entier afin de comprendre ce qui a pu passer par la tête du board parisien pour brader le club et prendre le risque de détruire un pan majeur de l’histoire de la marque au Lion. « Il y a autre chose que des raisons économiques, mais on ne saura jamais quoi », ose le maire de Montbéliard.    

 

 

ce n'était pas un risque, c'était le but


Dans le sujet : Le FC Sochaux dans les médias

21 juillet 2025 - 17:34

Il y a dix ans, le FC Sochaux était vendu par Peugeot à Ledus : le début des problèmes

 

En juillet 2015, PSA vendait officiellement le FC Sochaux au groupe chinois Ledus. La fin de 87 ans d’histoire commune et un traumatisme encore vif dans le Doubs. D’autant plus que, dix ans plus tard, personne n’y comprend toujours rien, et le club, lui, en paye toujours les conséquences.

Rémi Farge - Aujourd'hui à 06:45 | mis à jour aujourd'hui à 18:21 - Temps de lecture : 6 min

 

La légende veut que les membres de la famille Peugeot qui continuent de venir à Montbéliard jettent un œil aux parkings à chacun de leur séjour. Pour vérifier le nombre de véhicules encore siglés de la marque au Lion. S’ils passaient une tête au stade Bonal, sur le parking des joueurs, les descendants de Jean-Pierre et Roland Peugeot constateraient que leur héritage a presque disparu du bitume, dix ans après la cession du club par l’entreprise qui l’avait fondé.

Même s’il réapprend à marcher sur une jambe depuis l’été 2023, que le FCSM soit toujours débout dix ans après le départ de son actionnaire historique est un premier exploit. Car en juillet 2015, quand la vente à Ledus a été officialisée, les doutes sur l’avenir du club étaient déjà immenses. Mais le séisme, le vrai, est intervenu un an plus tôt, en mai 2014, quand la direction de PSA a annoncé son intention de vendre quelques jours à peine après la relégation en Ligue 2.

 

Le traumatisme de la vente

« Un vrai traumatisme », confesse un ancien salarié du club, quand Clément Calvez , encore responsable commercial, se souvient lui d’un moment « assez choquant ». « Dans une vie d’élue, c’est très marquant », prolonge Marie-Noëlle Biguinet , qui venait à peine de s’installer dans le fauteuil de maire de Montbéliard. « On ne s’y attendait absolument pas. Personnellement, j’ai ressenti une déchirure affective ».

À la manœuvre, on retrouve le patron de PSA, Carlos Tavares, et son directeur financier, Jean-Baptiste de Chatillon. Au même moment, Thierry Peugeot est débarqué du conseil de surveillance. Les planètes s’alignent pour rendre possible l’impensable, en somme. À Bonal, Alain Cordier, président du FCSM depuis treize ans et hostile à une vente, cède sa place à Denis Worbe, spécialement envoyé par la maison mère pour gérer ce dossier au côté de Laurent Pernet, président-délégué.

 

Déjà des repreneurs locaux

Un président éphémère décrit comme « glacial et factuel. Il en disait le minimum. Il était clairement désigné pour finir le travail », indique Valéry Tuaillon, qui couvre la vente pour L’Est Républicain à l’époque. « Les élus de l’Agglomération ont demandé des rendez-vous, mais on a juste pu rencontrer Denis Worbe, toujours très rassurant dans ses propos. Comme pour nous endormir, avec du recul », souffle Marie-Noëlle Biguinet.

Une première deadline est fixée au 31 décembre pour trouver un acquéreur. Différents dossiers émergent, quasi exclusivement des acteurs qu’on retrouvera à l’été 2023 : Romain Peugeot, Pierre-Arnaud Rollin, ainsi qu’un premier consortium d’entrepreneurs locaux avec Lisi, Neolia et... EIMI, déjà. Des auditions ont même lieu au siège de PSA, avenue de la Grande-Armée à Paris. « Mais on a rapidement compris qu’ils n’avaient même pas envie d’étudier notre offre », se remémore Sandro Nardis.

Pierre-Arnaud Rollin, de son côté, garde un souvenir très différent de cet entretien parisien. Le patron belfortain de Kipo assure même que les dirigeant de PSA en avaient fait l’heureux élu... dans un premier temps. « Il était question d’une transaction avant le 31 mars 2015. Puis, en janvier, au lendemain d’un match, Denis Worbe m’a appelé pour me dire que la décision allait être prise dans la journée, que la priorité était passée en faveur d’un groupe chinois qu’on ne connaissait pas.

 

Délégation chinoise tout sourire

PSA a donc choisi Ledus et son fantasque président Wing-Sang Li. Une bombe, une vraie. Parce qu’à l’époque, aucun club européen n’appartient à un investisseur chinois. L’événement est tel que la salle de presse du stade Bonal est comble lors de la conférence qui officialise la cession. L’ambiance est bon enfant, la délégation chinoise n’a de cesse de se congratuler, comme si elle venait de réussir son grand oral.

« Il y avait un gros décalage entre le scepticisme ambiant et le sourire toujours aux lèvres de la délégation chinoise », reconnaît Valéry Tuaillon. En coulisses, tout le monde cherche à se renseigner sur ce fabricant de Leds méconnu. Dans ce laps de temps, les premiers articles restent vagues, ne sont pas forcément à charge, en raison de l’opacité de la transaction. On apprend tout de même que Ledus est basée aux Îles Vierges et que la maison mère, Tech Pro, dépend des Îles Caïmans. Pas très engageant…

Fabrice Lefèvre, président du site Planète Sochaux, fait partie des premiers « lanceurs d’alerte ». « On pouvait télécharger les comptes sur le site Internet de Ledus. Avec l’aide de quelques membres de notre association, on a pu comprendre qu’ils avaient un chiffre d’affaires oscillant entre 15 et 20 millions d’euros, et des pertes du même niveau. En gros, c’était juste une bulle, une coquille vide. J’en ai parlé à Laurent Pernet lors des réunions entre la direction et les supporters. Mais on nous répondait toujours de ne pas s’inquiéter, que PSA ne ferait pas n’importe quoi avec le FCSM ».

 

Le « projet robuste et pérenne » de Worbe

« Denis Worbe nous disait que la surface financière de Ledus était suffisante », renchérit Jean-Claude Vienot, président de l’Association FCSM en 2015. « C’était un leurre… » Les interviews archivées du président sochalien sont en effet difficiles à relire sans écarquiller les yeux, une décennie plus tard. « Ils veulent s’inscrire sur le long terme. […] C’est un projet robuste et pérenne », insiste Worbe, qui n’a pas répondu à notre sollicitation il y a quelques jours.

La suite de l’histoire, tout le monde la connaît. L’Est Républicain révèlera finalement en 2018 qu’entre la recapitalisation de PSA avant son départ, plus la dépréciation des actifs, le FC Sochaux n’aura été racheté que 50 000 € par Ledus. « Nous, on rachetait le club, et on mettait de l’argent ensuite », ironise Pierre-Arnaud Rollin.

 

Dix ans après, toujours incompréhensible

Dix années sont passées, mais le mystère est toujours entier afin de comprendre ce qui a pu passer par la tête du board parisien pour brader le club et prendre le risque de détruire un pan majeur de l’histoire de la marque au Lion. « Il y a autre chose que des raisons économiques, mais on ne saura jamais quoi », ose le maire de Montbéliard.    

« Moi, j’ai la conviction que Tavares a voulu s’affirmer vis-à-vis de la famille Peugeot, montrer que c’était lui le patron, et par là même envoyer un message à l’usine de Sochaux », ajoute Fabrice Lefèvre. « La famille Peugeot, c’est aussi un mystère. Pourquoi n’ont-ils pas davantage soutenu un autre projet de reprise ? », questionne Jean-Claude Vienot. « Il est quand même incroyable que ce soit le plus jeune de la famille (NDLR : Romain Peugeot) qui monte au front et aille à la bagarre », regrette Fabrice Lefèvre.

 « Si je prends ma casquette de supporter, je ne comprends pas du tout ce choix de PSA. Mais comme chef d’entreprise, si je dirige une société qui va très mal - comme c’était le cas de PSA à l’époque - je peux comprendre cette envie de restructuration. En revanche, la manière, vraiment pas », conclut Sandro Nardis, devenu président du conseil de surveillance du FCSM, et qui serait « heureux et honoré que la marque Peugeot revienne sous une forme ou une autre ». Le clin d’œil serait fameux. Pour le centenaire du club ?


Dans le sujet : A Bonal

21 juillet 2025 - 09:36

 

 

est-ce que certains qui ont demandé l'envoi de leurs cartes d'abonnements par courrier postal l'ont déjà reçu svp ?

Pas encore reçue, je commençais a m'inquiéter mais je seul ne pas être le seul du coup. 

 

Pas reçu non plus, mais pas inquiet non plus, il faut le temps que ça soit envoyé et que ça arrive

 

 

je viens de les recevoir


Dans le sujet : 2025-2026 Quel effectif et quel coach ?

19 juillet 2025 - 17:15

pour suppléer Peybernes peut-être, s'il est déjà blessé, on peut craindre qu'il ne tienne pas toute la saison


Dans le sujet : L'aventure Socios à Sochaux c'est parti !

19 juillet 2025 - 11:31

c'est le cas de beaucoup de salariés en France, le travail ne paie plus ; et malheureusement, pour beaucoup de PME et TPE, ce n'est pas possible de faire mieux

la question est à la mode, mais je me demande parfois où va tout ce pognon ... même si on le sait


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