Dans cette histoire, ce qui me gêne, c’est que les échanges actuels ne reflètent qu’un seul point de vue — celui des anciens membres démissionnaires — sans contradictoire ni nuances. Leur désaccord avec la direction actuelle est compréhensible, mais leurs prises de position semblent fortement influencées par des différends personnels, ce qui rend leur analyse partielle, voire partiale.
Concernant le projet de thèse, il ne s'agit pas simplement de financer une "thèse sociologique", mais d’un double dispositif : une salariée à mi-temps pour l'association, et un travail de recherche sur le centre de formation. Les deux volets — la thèse comme le mi-temps — sont financés à 50% via des subventions. Le reste est assumé par l’association.
Autrement dit :
Avant : une salariée à mi-temps, 100% à la charge de l’association.
Maintenant: une salariée à mi-temps + une thèse, toutes deux cofinancées à 50%.
L'augmentation des frais pour l'association est donc quasi-nulle, tout en lui permettant de conserver une employée déjà en poste et opérationnelle.
Cette thèse porte sur le fonctionnement du centre de formation et ses axes d'amélioration. Elle vise à produire un travail de fond utile pour le club, en phase avec la mission de l’association. La réduire à une simple "étude sociologique" est donc trompeur.
Pour ceux qui veulent creuser le sujet, je vous invite à consulter la discussion dans le salon Discord “Investir sur le centre de formation ?”, où les arguments ont été exposés et répondus point par point.