viagra bitcoin

Aller au contenu


Photo

Emotions cinématographiques


  • Veuillez vous connecter pour répondre
5411 réponses à ce sujet

#5401 slow pulse boy

slow pulse boy

    V.I.P.

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 20 094 messages
  • Sexe:Homme
  • Localisation:93

Posté 25 juin 2025 - 20:02

 

Télérama a également répondu à l'appel de Tool78 !
Et je suis assez étonné de retrouver 6 de mes films préférés dans leur top 100 : Johnny s'en va-t-en guerre, le dictateur, les lumières de la ville, the party, il était une fois en Amérique et le parrain 2.
Après Télérama reste Télérama, Godard est sur le podium et les comédies françaises brillent par leur absence.

https://www.telerama...a-2316-9283.php

Superbe top de Telerama

 

Mais qui a un certain snobisme, manque incroyablement de cinéma ''populaire'', et on le sait bien : Telerama ne connait rien au cinéma de genre.

J'ai trouvé très amusant l'exercice de poster son propre classement avec ses propres critères ; justement parce que ça nous affranchit de la dictature du bon goût. Au passage, je me fends la gueule en apprenant qu'ils ont défoncé La folie des grandeurs à sa sortie et font amende honorable 50 ans plus tard


When you're on the bottom
Crawl back to the top
Something pulls you up
And a voice says you can't stop
I was going to drown
Then I started swimming
I was going down
But now I started
Winning
Winning
Winning!
Winning!

 


#5402 Tool78

Tool78

    Star de PlaneteSochaux

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPip
  • 3 450 messages
  • Sexe:Homme

Posté 25 juin 2025 - 20:06

 

 

Télérama a également répondu à l'appel de Tool78 !
Et je suis assez étonné de retrouver 6 de mes films préférés dans leur top 100 : Johnny s'en va-t-en guerre, le dictateur, les lumières de la ville, the party, il était une fois en Amérique et le parrain 2.
Après Télérama reste Télérama, Godard est sur le podium et les comédies françaises brillent par leur absence.

https://www.telerama...a-2316-9283.php

Superbe top de Telerama

 

Mais qui a un certain snobisme, manque incroyablement de cinéma ''populaire'', et on le sait bien : Telerama ne connait rien au cinéma de genre.

J'ai trouvé très amusant l'exercice de poster son propre classement avec ses propres critères ; justement parce que ça nous affranchit de la dictature du bon goût. Au passage, je me fends la gueule en apprenant qu'ils ont défoncé La folie des grandeurs à sa sortie et font amende honorable 50 ans plus tard

 

Ouais voilà exactement

 

Perso, je préfère 4 garçons plein d'avenir, Profs, Radiostars et Les 3 frères à toute la filmographie réunie de Fellini. Et ça me va très bien. 


« Les Hommes sont tous coupables Monsieur Mattéi ! Ils viennent au monde innocents mais ça ne dure pas ! Tous coupables »


#5403 John Locke

John Locke

    V.I.P.

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 38 730 messages

Posté 25 juin 2025 - 20:12

Je te conseille toutefois la lecture du formidable "La Bella confusione" paru ces dernières semaines, écrit par Francesco Piccolo (scénariste de Nani Moretti) qui raconte la rivalité fratricide entre Fellini et Visconti, notamment sur les tournages du "Guépard" et de "Huit et demi" qui avaient lieu en même temps (le livre s'ouvre avec cette anecdote formidable des deux qui contraignaient Claudia Cardinale, engagée sur les deux films, à changer de couleur de cheveux à chaque fois qu'elle rejoignait un tournage ou l'autre, juste pour faire chier le rival).
C'est une merveille pour tous les amoureux de cinéma, et il parle avec tellement d'intelligence de son métier et de son amour pour ce cinema, qu'il m'a fait ressentir "Huit et demi" totalement différemment.
"Hé camarade, si les jeux sont faits, au son des mascarades on pourra toujours se marrer !"

#5404 Tool78

Tool78

    Star de PlaneteSochaux

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPip
  • 3 450 messages
  • Sexe:Homme

Posté 25 juin 2025 - 21:09

ah effectivement ! Ca se tente carrément

 

L'anecdote concernant Claudia Cardinale est terrible ah ah ah putain les mecs avaient un tel égo

 

j'ai globalement un ''souci'' avec le cinéma italien, disons, d'après guerre, pour prendre une large période. Sans que je puisse l'expliquer rationnellement. Comme à peu près tous les cinéphiles, j'ai vu les Fellini, Rosselini, Visconti, Antonioni , De Sica...

 

... et je reste globalement autant de marbre devant ''8 1/2'', ''la dolce vita'', ''l'avventura'', ''l'éclipse'' , ''le guépard'' que devant ''Stromboli'' ou ''voyage en Italie''. 

 

Les exceptions me concernant vont se loger du côté de certains Ettore Scola et Pasolini même si, pour ce dernier, je m'ennuie souvent, je ressens une sorte de fascination.

 

Les choses sont très différentes pour Bertolucci dont le cinéma est plus accessible mais surtout pour Sergio Leone, évidemment dans un style incomparable avec ce qui précède. Ce dernier faisant sans doute partie des 10 metteurs en scène que j'aime le plus au Monde. 

 

Autre exception italienne pour moi : ''l'incompris'' de Luigi Comencini. Pur chef d'oeuvre que je trouve bouleversant.


« Les Hommes sont tous coupables Monsieur Mattéi ! Ils viennent au monde innocents mais ça ne dure pas ! Tous coupables »


#5405 PtiFranck

PtiFranck

    En équipe première

  • Supporters
  • PipPipPipPipPip
  • 531 messages
  • Sexe:Homme
  • Localisation:territoire de Belfort

Posté 25 juin 2025 - 22:34

J'ai lu attentivement vos contributions il me semble que ce film n'a jamais été mentionné, je veux parler de " la 25 ème heure", film d'Henri Verneuil avec Anthony Quinn.
C'est de loin mon favori, celui qui ma le plus marqué notamment sa scène finale.
Je vous laisse le soin de le découvrir sans vous en donner le moindre détail auparavant.
Merci d'avoir initié ce sujet, c'est juste super intéressant de lire chacun des messages, j'ai mis Netflix et consorts de côté pur découvrir certaines de vos recommandations et ma foi je m'en porte bien mieux.

#5406 Tool78

Tool78

    Star de PlaneteSochaux

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPip
  • 3 450 messages
  • Sexe:Homme

Posté 26 juin 2025 - 07:55

La 25eme heure qui est un film tellement impactant et reconnu que le chef d'oeuvre de Spike Lee portant le même nom est sorti en France sous cette appellation mais a fini par être renommé ''24 heures avant la nuit'' pour ne pas entrer en collision avec le Verneuil

 

Verneuil qui est, pour moi, l'un des plus grands cinéastes de l'histoire du cinéma, tous pays confondus, toutes époques confondues.

 

Ce mec a été méprisé par une partie de la presse et (surtout) par une partie des cinéastes français qui ne voyaient en lui qu'on bon ''faiseur'' alors qu'il vaut tellement plus que ça. Il a eu la malchance de bosser à l'époque de l'explosion de la Nouvelle Vague et surtout d'être dans l'ombre du grand Melville. Essayer d'exister professionnellement quand le Monde entier acclame les Chabrol, Godard, Truffaut et que les fans de polars ne jurent que par Melville,c'était compliqué.

 

Et pourtant, aujourd'hui, sa carrière vaut à mes yeux celle de Melville. Sans problème. Verneuil est allé faire tous les genres, le drame, la comédie, le polar, le film d'action, le film politique et engagé et il ne s'est presque jamais planté. 

 

Rendez vous compte que ce mec a réalisé, en plus de la 25eme heure que tu cites, des chefs d'oeuvre absolus comme Un singe en Hiver, Le clan des siciliens, I comme Icare, Mélodie en sous-sol, 100 000 dollars au soleil, ou 1000 milliards de dollars.

Une folie totale


« Les Hommes sont tous coupables Monsieur Mattéi ! Ils viennent au monde innocents mais ça ne dure pas ! Tous coupables »


#5407 John Locke

John Locke

    V.I.P.

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 38 730 messages

Posté 26 juin 2025 - 08:13

Et "Peur sur la ville" qui est l'un de mes premiers traumatismes cinématographiques d'enfance.

Concernant le cinema italien (classique, en tout cas), je suis assez d'accord avec toi, j'y suis plutôt hermétique.
J'ai le souvenir d'avoir traversé l'enfer devant "The Passenger" tant je me suis emmerdé. A côté de moi, un pote pourtant pas snob pour un sou, en est ressorti fasciné. Je ne comprends toujours pas.
Mais le bouquin de Piccolo est tellement intelligent, sensible et amoureux qu'il offre de merveilleuses clés de compréhension, en tout cas sur le cinema de Fellini et Visconti, et il se lit de toute façon avec bonheur, que l'on aime ce cinéma ou non.
"Hé camarade, si les jeux sont faits, au son des mascarades on pourra toujours se marrer !"

#5408 Le pote au laid

Le pote au laid

    V.I.P.

  • Membres de PS
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 17 783 messages
  • Sexe:Homme
  • Localisation:Sarthe

Posté 26 juin 2025 - 09:29

Et "Peur sur la ville" qui est l'un de mes premiers traumatismes cinématographiques d'enfance.


Minos et son strabisme divergent hante encore tes nuits ?
Je l'ai revu récemment. Ça a pris un petit coup de vieux mais même après tant de rediffusions, on reste encore scotché jusqu'au bout.
A inscrire sur ma pierre tombale: Supporter du FCSM et keuf, ci-git PauL, l'homme qui aimait les sacerdoces...

#5409 John Locke

John Locke

    V.I.P.

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 38 730 messages

Posté 26 juin 2025 - 09:52

Le moment où l'on découvre en gros plan son visage sans les lunettes me fait encore froid dans le dos.
Mais je crois que la seule scène d'ouverture, absolument magistrale, suffisait déjà à me saisir.
"Hé camarade, si les jeux sont faits, au son des mascarades on pourra toujours se marrer !"

#5410 Tool78

Tool78

    Star de PlaneteSochaux

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPip
  • 3 450 messages
  • Sexe:Homme

Posté 26 juin 2025 - 17:06

rien à voir mais je vais tenter le film ''mercato'' sur le foot et le monde des agents, 

 

parait que c'est bien .... on verra .... 


« Les Hommes sont tous coupables Monsieur Mattéi ! Ils viennent au monde innocents mais ça ne dure pas ! Tous coupables »


#5411 Le_Retour_Du_Roi

Le_Retour_Du_Roi

    Selection nationale

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPip
  • 2 189 messages
  • Sexe:Homme
  • Centre d'interêts:FCSM

Posté 26 juin 2025 - 20:23

Et "Peur sur la ville" qui est l'un de mes premiers traumatismes cinématographiques d'enfance.

Concernant le cinema italien (classique, en tout cas), je suis assez d'accord avec toi, j'y suis plutôt hermétique.
J'ai le souvenir d'avoir traversé l'enfer devant "The Passenger" tant je me suis emmerdé. A côté de moi, un pote pourtant pas snob pour un sou, en est ressorti fasciné. Je ne comprends toujours pas.
Mais le bouquin de Piccolo est tellement intelligent, sensible et amoureux qu'il offre de merveilleuses clés de compréhension, en tout cas sur le cinema de Fellini et Visconti, et il se lit de toute façon avec bonheur, que l'on aime ce cinéma ou non.

 

Je te conseille "le Pigeon" (1958) ou un peu en dessous "le fanfaron" de Dino Risi film de psycopathe à 100 à l'heure avec Victorio Gassman ou encore La Ciociara avec la magnifique Sophia Loren, ou encore "Rome ville ouverte", "une journée particulière", "divorce à l'italienne" ...

 

Le cinéma italien est merveilleux. 


"Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ; et qu’il n’y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits." Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais


#5412 AndreAyew-FCSM

AndreAyew-FCSM

    V.I.P.

  • Supporters
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 832 messages
  • Sexe:Homme
  • Localisation:Bavans

Posté 09 juillet 2025 - 22:17

Petit retour sur les films vus au ciné ces dernières semaines :

 

-Mission Impossible : The Final Reckoning :

 

J'aime beaucoup la saga, à part le 2ème opus qui reste néanmoins un nanar pas désagréable à regarder quand on le considère comme tel, et particulièrement les films de Christopher McQuarrie (Fallout figurait d'ailleurs dans mon top 100). Dead Reckoning posait des bases solides, avec l'Entité comme antagoniste puissante, Gabriel suffisamment mystérieux et lié au passé d'Ethan Hunt pour donner envie de le revoir dans la suite, l'ajout de Grace très rafraichissant par rapport à des Benji et surtout Luther plutôt sur la fin. Hélas, beaucoup de d'éléments du film de 2023 sont totalement bâclés ou même ignorés dans cette suite.

 

Alors, dans l'ensemble, le film reste divertissant, avec un Tom Cruise toujours aussi charismatique et impliqué, mais il y a un souci avec le rythme. Beaucoup trop de scènes où les personnages expliquent, "surexpliquent" même, ce qu'on voit à l'écran et des détails insignifiants. Les scènes au QG du gouvernement sont trop longues et alourdissent justement la fluidité du récit et de l'action. Les personnages sont mal écrits, entre Grace qui passe au troisième plan alors qu'elle avait un rôle majeur dans Dead Reckoning, le personnage de Shea Whigham bénéficie d'un retcon ridicule avec les autres films. Le pire reste Gabriel, qui disparait au bout de 30min avant de revenir pour les 30 dernières, tandis que l'événement du passé qui le lie à Ethan est complètement oublié dans ce film, c'est incompréhensible...

 

Malgré tout, la cascade majeure avec les avions est incroyable (le making-of vaut le coup d'œil), la scène sous-marine fonctionne et Hayley Atwell a des atouts que McQuarrie n'a pas manqué de filmer de près.

 

Un 5.5/10 plutôt décevant. 

 

Maintenant, la fin étant assez ouverte, la porte reste ouverte pour une éventuelle suite. Je pense que la saga a suffisamment vécu et Cruise aura 65/70 ans si un nouvel opus voyait le jour donc ça commence à devenir de plus en plus peu probable de l'imaginer faire autant que ce qu'il faisait jusque-là (sachant qu'il a déjà pris un coup de vieux dans Dead Reckoning et surtout The Final Reckoning). Quant à un reboot ou une suite sans Cruise, c'est hors de question, Mission Impossible c'est Tom Cruise, ça n'aurait aucun sens de continuer sans lui.

 

F1 :

 

Pas grand chose à dire, si ce n'est que Brad Pitt reste une des dernières icônes du cinéma, que Kosinski n'apporte pas grand chose par rapport à une retransmission TV d'une course, et qu'il y a beaucoup de facilités scénaristiques pour faire avancer un film un peu trop long. Pas mal, mais Rush et Le Mans 66 m'ont bien plus conquis.

 

6/10 

 

- The Life of Chuck :

 

Je n'avais vu passer, et lu, que des avis dithyrambiques à son sujet, je m'attendais donc à voir quelque chose de marquant. Finalement, le film est bien, voire très bien, mais je n'ai pas été aussi touché que je l'avais imaginé avant d'aller le voir.

 

On est sur un feel good movie, qui nous invite à profiter de chaque moment de notre vie car la fin est inévitable et que "le plus dur, c'est l'attente". J'ai particulièrement apprécié la partie sur l'enfance du dénommé Chuck, un peu moins celle qui ouvre le film, même si elle pose les bases de ce qu'on va voir ensuite et que Ejiofor et Gillian sont très convaincants. La mise en scène est soignée, avec une photographie assez lumineuse, les acteurs sont tous bons, ce qui fait que tout cela est très digeste, on passe un bon moment. Les scènes musicales sont les plus abouties, tant dans ce qu'elles racontent que dans l'énergie qui y est déployée, en particulier celle avec le très bon Tom Hiddleston (trop peu exploité dans ce film, c'est dommage).

 

Il m'a simplement manqué un supplément d'âme, peut-être un peu plus de dureté sur certaines scènes, car l'ensemble est assez lisible et optimiste (la mort de certains membres de la famille de Chuck par exemple, c'est assez vite éludé, c'est dommage). Je ne comprends pas l'omniprésence du narrateur, qui se contente de raconter ce qu'on voit à l'image, ça alourdit le film pour un apport totalement dispensable.

 

Cependant, les quelques défauts ne rendent pas l'œuvre mauvaise, bien au contraire, c'est un film à voir si vous le pouvez car c'est très agréable sur la forme, sans pour autant manquer de fond. 7/10

 

-Ballerina :

 

Pas facile de passer derrière John Wick et Keanu Reeves. Pourtant, je trouve le pari plutôt réussi, sans être flamboyant non plus.

 

Le point fort c'est Ana de Armas, dont le talent et le charisme entrevu dans No Time To Die illuminent le film. C'est d'autant plus dommage que les scénaristes (ou producteurs ?) se soient sentis obligés de mettre autant Reeves à l'écran. Hormis sa première scène, qui s'intégrait bien au récit et permettait de connecter Ballerina avec le reste de la saga, sa présence dans l'acte final est simplement là pour faire venir du monde en salles. Les reshoots ont très probablement donné plus d'important au Baba Yaga qu'il n'en avait dans la version initiale du scénario.

 

Sinon c'est un film John Wick quoi. La musique, les néons, les chorégraphies de combat abouties, on est sur une recette connue mais efficace. Cette saga a un côté jeux vidéos qui me plait beaucoup, avec des vagues d'ennemis, des hommes de main avant l'affrontement contre le boss de fin. Ces films s'assument pour ce qu'ils sont : des films d'action purs et durs, rien de plus, là où certaines licences ne peuvent s'empêcher d'établir un propos politique/sociétal de manière forcée.

 

Un bon divertissement, sans parvenir à vraiment renouveler la licence et le genre, mais le cahier des charges est respecté. 6/10

 

-28 ans plus tard :

 

Je n'ai pas encore vu "28 jours plus tard" donc je n'étais pas familier avec l'univers du film, mais j'aime bien Danny Boyle, réalisateur finalement assez sous-coté dans la mesure où il est rarement cité parmi les réalisateurs les plus connus du siècle, alors que Steve Jobs, 127 heures, Slumdog Millionaire, Yesterday c'est très bien (Sunshine est sur ma liste car j'en ai entendu beaucoup de positif). Le verdict ? Ca m'embête car, hormis l'argument Boyle, le trailer m'avait conquis et au final c'est assez oubliable malheureusement.

 

Pour ce qui est du positif, je dois reconnaitre une certaine poésie sur certaines scènes (notamment lorsque Fiennes arrive dans le film), une bonne gestion du rythme

et également une retenue dans le gore et les jumpscares puisqu'il n'y a pas d'excès à ce niveau, comme peuvent le faire les films d'horreur.

 

Pour ce qui est du négatif, l'intrigue est peu emballante, il n'y a pas de fulgurances, de scènes qui nous tiennent en haleine pendant plus de 5min. La maladie d'un personnage clé aurait mérité une conclusion moins abrupte, tandis qu'un groupe de militaires apparait d'un coup au milieu de l'intrigue sans que ce soit justifié et utile, je n'ai pas compris ce qu'a voulu faire Alex Garland (réalisateur des très bons Ex Machina et Civil War, scénariste sur ce film). 

 

A voir ce qu'apporte la deuxième partie, en espérant voir beaucoup plus Ralph Fiennes, dont le personnage reste assez mystérieux, et j'ai par ailleurs de la curiosité quant au groupe de survivants qui apparait lors de la dernière scène (avec le cliffhanger qui en découle).

 

6/10 (sans Fiennes ça faisait plus 5 ou 5.5)






cialis bitcoin
viagra bitcoin