54 réponses à ce sujet

[perrin]

Après coup j'ai un moment très narcissique qui n'a fait vibrer que moi. Sochaux-Rennes à 0-5 l'an dernier en coupe de France. Je regardais les gens se tenir par les épaules et sauter ensemble avec un bon nombre d'entre eux qui portait un maillot que j'avais imaginé 6 mois plus tôt. Ca m'a mis la chair de poule de voir les gens heureux comme ça d'avoir sauvé leur club sans tenir compte du résultat du match. Impensable à Bonal avant le sauvetage.   

[Levieux]

3/Sochaux saint Etienne 80/81 4/1 a bonal

Si certains s'en souviennent,ily a des dates peut être a préciser ou rectifier..

Je pense que c'est plutôt le FCSM-ASSE de la saison 79/80, où à la sortie de l'hiver, on a donné une véritable leçon aux Verts de Platoche, et où on est revenu dans la course pour le titre.

exact !

[erbaton25]

Pour terminer dans mes souvenirs, ce qui me fascinait aussi c'était notre façon de lancer les ailiers depuis les latéraux. Long ballon brossé que tout le monde voyait sortir mais qui revenait sur le terrain côté adverse avec soit Lada soit Henri pour dribbler le défenseur.

[Shogun]

- En 87, en Rhône alpes depuis 5 ans, j'ai 10 ans et suis à Gerland pour OL-Sochaux 1-7. Tout part de là.
- Sochaux Dortmund 4:0 c'était quelque chose
- La finale de coupe contre Marseille, Perrin qui écarte Isabey pour y aller plus avec le torse et les cuisses qu'avec les pieds et ça marche. Les deux avant-centre d'ordinaire indigents qui se sortent les doigts le bon soir. Je suis le seul supporter de Sochaux dans un immense bar plein à craquer.
- La finale perdu contre Metz. Tv, larmes, colère contre le petit Madar, parce que je suis bien plus jeune encore.
- La finale contre Nantes : Teddy, la panenka, à la TV
- Je me souviens d'un autre match où on va battre lyon avec Sio qui traverse le milieu de terrain seul pour aller enrhumer Lovren (je crois).
- Le Sochaux - Nice avec la délivrance sur le sombrero-patate de Pitau pour éliminer 2 joueurs qui seront plus tard de mauvais souvenirs.
- Je me souviens d'un match de coupe assez intense (victoire je crois) contre le sainté de Perquis qui doit nous taper dans l'oeil puisqu'on le recrute l'année suivante m'semble.
- La remontada globale de Renard avec les 3 zambiens et l'équipe de perdants qui se mets à enchaîner et gagner sur le fil, Mayuka contre Rennes, le PSG qui sont deux grosses équipes. Et la "finale" de championnat contre Evian que je ne sens pas du tout parce que tellement d'efforts ont été déployés pendant qu'ETG se préparait pour le jour J. Alors quand dès le début on ne sent pas la consigne ferme de faire la misère à leur super danois, bien meilleur que les 21 autres sur le terrain, tu sais qu'il faudra un miracle même si nous sommes des milliers en tribunes pour supporter cette petite équipe qui a montré un gros caractère.

[Levieux]

Si on cherche il faudrait faire un top 50 .on trouverait...
Souvenir a la Mosson ou on l'emporte 2/1 avec un but litigieux de morin je crois suite a une faute réclamée par les Montpellierins... j'étais avec femme, enfants au milieu des supporters adverses,on est restés très neutres,et on a attendu d'être dans la bagnole pour hurler notre joie.. Heureusement ont étaient avec une voiture de mon beau frère immatriculé 34..

[Shogun]

Ça me rappelle un autre chouette souvenir. J'ai deux invit' en présidentielle pour un match contre l'OL à Bonal. Je viens d'avoir ma première bagnole une golf 2 diesel. Avec un pote d'enfance lyonnais, il fait beau on passe par la Suisse vers Goumois. À la frontière, le douanier nous dit "Vous allez à la chasse ?". On se regarde et on s'aperçoit qu'on a tous les deux un bermuda kaki et on explose de rire. Il est un peu vexé et nous fouille la bagnole de fond en comble. Pendant le match, l'OL marque et l'autre en prez est le seul à se lever et gueuler "Ouaaaaai !" Il regarde autour de lui, se sent seul et se rassoit immédiatement penaud". On repart le soir même, et vers Lons pour une raison que j'ignore je tourne à gauche sous les rails et là c'est la nuit, je suis jeune conducteur, je conduis un tank avec des pneus lisses en guise de chenilles, il se met à neiger comme jamais, dès que je m'arrête on galère à repartir et je suis dans les cols du Jura et j'y vois pas à 3m.
Je finis par y aller comme un bourrin sans jamais m'arrêter, je me marre tout du long alors que mon pote est terrorisé et me dit "attention !" Toutes les 20s. Il finira par s'y faire par s'y faire. Je me souviens même plus du résultat du match.

[zburdure]

Pas d'ordre, mais il me vient :

 

-1/7 à Gerland écouté à la radio chez un pote en 1987?

-but de Genghini sur coup franc contre les grasshoppers en 81?  au stade

-finale de coupe au stade France contre Nantes

-l'ambiance, le ressenti au stade  l'an dernier quand tout se passait bien pour les matches de coupe. Je place ça au dessus de Dortmund et autres.

-4/0 Dortmund, au stade

-match avec un triplé de Menez contre Bordeaux je crois, au stade.

-saison de ligue 2 en 1987 avec une équipe magnifique à voir jouer.

-la finale perdu contre Metz au Parc des Princes en 1988 je crois. A la télé.

-la finale gagnée contre l'OM à Paris, à la télé car j'avais du me taper l'anniversaire de ma belle-mère de l'époque donc pas au stade- le plus grand regret de ma vie...

-un match contre Auxerre ou Strasbourg il y a longtemps où on menait 3/0 à la mi-temps en jouant très bien.

-demi finale de coupe à St Etienne à la télé

etc...

[Shogun]

Moi aussi je regrette mon ex-belle-mère. Même si je n'aurais jamais osé me l'a taper

[GauchixHBCM]

Pour terminer dans mes souvenirs, ce qui me fascinait aussi c'était notre façon de lancer les ailiers depuis les latéraux. Long ballon brossé que tout le monde voyait sortir mais qui revenait sur le terrain côté adverse avec soit Lada soit Henri pour dribbler le défenseur.

J'en ai parlé avec ton père au téléphone, oui, c'était un autre football. 

J'ai souvenir qu'en 1992-1993 et 1993-1994, on descendait avec des camarades voir les entrainements le mercredi à 10 h depuis le Grand Chenois. Entrainement sur le Vieux Stabilisé. 

[skippy]

ça commence a etre vieux.....malheureusement

 

Pour moi ça donnerait ça:

- Sochaux-Lens en 1983 ou 1984 (neige au bord de bonal, agerbeck, mon premier match, le début d'une passion)

- Sochaux- Metz 1988 ( les seules larmes tombées....) au parc des princes

- Sochaux - Fiorentina 1988 ( ambiance et serré comme des sardines en populaire)

- Martigues-Sochaux 1998 (au stade, le temps du trajet, hystérie collective....)

- Sochaux-Dortmund 2003 (un rêve inattendu)

- Saint-Etienne-Sochaux (demi de coupe de la Ligue 2004) à la télé

- Sochaux-Nantes 2004 finale (au stade de France)

- Sochaux-OM 2007 finale (une fierté)

- Fcsm-evian ( joie avant et tristesse après, bizarre sensation....)

- Sochaux - Goal 2023 (l'émotion d'etre vivant)

 

 

J'ai 52 ans, je suis supporter du FCSM depuis la saison 1984, et je vais régulièrement à Bonal depuis 1997.

[pbe7625]

Né en 2000, supporter depuis le déménagement des parents à Montbéliard en 2009 (avec comme premier match au stade un obscur Sochaux-Valenciennes en début de saison, défaite 5-2 et ma mère qui demande à sa voisine "c'est une vraie passoire ce gardien non" ? Elle parlait de Richert... ).

Mon classement va donc être nécessairement s'appuyer sur des matchs (beaucoup) plus récents que les vôtres, la différence de niveau fait assez mal

Tous vécus au stade, car l'émotion y est toujours décuplée.

 

1/Le barrage 2022 à Charléty. Le scénario, le caractère fédérateur de cette équipe, les 30 premières minutes à ne pas pouvoir rentrer dans le parcage, la liesse collective, l'impression qu'on pouvait aller au bout de cette histoire...

2/Le quart de finale de CDF contre Nantes en 2016, 3-2 avec le fameux doublé de Sao. Ma première en TNS à 15 ans, donc le premier match passé à chanter, beaucoup de fierté de soutenir ce club et un souvenir indescriptible. 

3/Reims en coupe l'année dernière. La fierté à la fin du match, le bonheur que le club soit vivant, la seule fois où j'ai vraiment eu envie de pleurer au stade en regardant 20.000 personnes chanter...

4/Bastia en fin de saison 21/22, la frappe pur beurre d'Henry, qui nous laisse en vie dans la course à la montée 10 mn après le CSC de Pogba. Une explosion de joie, un souvenir unique qui ne s'explique pas complètement.

5/La victoire sur le PSG de Zlatan début 2013. Beaucoup plus jeune à l'époque, mais vécu comme un truc énorme, le petit qui renverse le gros intouchable. Quelle joie sur le but de Bakambu...

6/La remontada contre Caen début 2022, avec l'arbitrage scandaleux de Petit et la TNS fermée. Grand souvenir. En fait, l'équipe de cette saison était la plus attachante depuis que j'ai commencé à suivre le club. Trop jeune en 2010/2011 pour vraiment comprendre ce qu'il se passait.

7/La victoire contre Sainté 3-2 début 2023, avec deux buts dans le temps additionnel alors qu'on s'apprête à perdre notre quatrième match de suite. Passer de la colère à l'extase en cinq minutes, avant de rester enfermés 2h sur le parking de Geoffroy Guichard et de se faire escorter par des CRS dans le tram pour aller reprendre le train. Le plus lunaire de tous.

8/Nancy-Sochaux 2023 : l'égalisation de Viltard dans le temps additionnel. Mon seul dep à Marcel Picot, dans l'euphorie de ce début de saison à part.

9/La victoire 3-2 contre Chambly fin 2020, avec le but d'Adama Niane en toute fin de match 30 secondes après l'égalisation adverse. Match lambda, mais grand souvenir dû à la période Covid où on a pas eu grand chose à se mettre sous la dent, et qui est donc mon seul vrai moment d'émotion au stade sur une période de 2 ans.

10/Evian 2014, la descente. Pour mettre un souvenir triste, même si j'étais trop jeune sur l'instant pour vraiment comprendre la portée du truc.

 

En bonus : 

- La défaite 0-3 contre GOAL, la joie de retrouver son club après être passés si près de le perdre.

- La défaite en barrages contre Auxerre en 2022, une grande tristesse 3 jours après l'extase (vu à la télé celui-là).

- Pas un match de Sochaux, mais je me rappelle encore de la cour de l'école primaire le lendemain du doublé de Martin en EDF. Je pense qu'on a passé la semaine à ne parler que de ça.

[Shogun]

Super classement Kevin.

Pardon. J'essayais simplement d'être drôle. Y'a plus que ça pour ne pas sombrer dans la déprime à l'évocation de ce que l'on a été.

[slow pulse boy]

Super classement en effet, avec aucun match auto-include

[LouisBMX11]

1. Sochaux Metz Finale CDF tab 1988

2. Sochaux Monaco 1/2 tab 1989

Quand ta passion commence là, ça marque à vie et c'est indépassable

3. Sochaux Marseille Finale 2007

4. Sochaux Nantes Finale 2004 (quand je vois la séance de tab arrivée, j'en menais pas large... les 1. et 2. sont remontés dans ma mémoire d'un coup)

5. Sochaux Reims 2024 (retour à Bonal après tant d'années, après le fameux été)

6. Sochaux Dortmund 2004

7. Sochaux Fiorentina 1989

8. Sochaux Qatar SG 3-2 2012/2013

9. Martigues Sochaux 1998 (quand le pénalty est sifflé le bad trip ; et Peteyrens surgit)

10. Sochaux Angers 1993 4-1 ... 1ere journée, ado, découverte de Vos et de Szcezwik, j'ai toujours une pensée émue pour ce match même si il n'avait que peu d'intérêt.

 

Y'en a tant d'autres, Sochaux Bordeaux 1989 avec Carrasco, Sochaux Nancy en coupe avec Pamic et Gunnlaugssson, un Sochaux Marseille 1991 ou 1992 défaite 3-2 avec mes potes du collège qui étaient tous pour l'om, St Etienne Sochaux 2004, Sochaux Lyon 3-3 triplé de Santos...

Et aucun match mais aucun de la période chinoise, que ce soit la coupe avec Cartier ou le barrage à Paris.

[GauchixHBCM]

Avec les voisins de Montenois qui m'emmenaient pendant la maladie de mon père et après son décès (période 1990-1995), c'était pesage. Souvenirs de matchs le dimanche après-midi et le soir (et un arrêt dans une taverne à Sainte Suzanne après les matches). D'ailleurs, un ex enseignant de Montenois fait référence à Sochaux dans quelques bouquins

Pour compléter, dans l'ancien Bonal, c'était Populaire Sud adolescent

Un peu de pop nord et dès qu'il flottait , on filait en pesage ? souvenir de 1996-1997 où les pesages scandait le nom de Piton, en conflit avec Hadzi

Nouveau Bonal, pop nord, secteur C

quand je reviens, je prends des places dans tribune active. 

[perrin]

La taverne de l'entrée de Saint-Suzanne ? Ma grand-mère habitait dans une cité ouvrière à peine plus loin. J y suis allé quelques fois. 

[Le pote au laid]

Le patron s'appelait Joël ? Parce que si c'est bien ça, j'y ai aussi passé quelques soirées à la fin des nineties ! Et on finissait tous au moulin rouge ou à l'absolu.

[GRIFFEDULION]

La taverne de l'entrée de Saint-Suzanne ? Ma grand-mère habitait dans une cité ouvrière à peine plus loin. J y suis allé quelques fois.

Vous parlez de la chope ? Établissement que j'ai également fréquenté !

[GauchixHBCM]

 

La taverne de l'entrée de Saint-Suzanne ? Ma grand-mère habitait dans une cité ouvrière à peine plus loin. J y suis allé quelques fois.

Vous parlez de la chope ? Établissement que j'ai également fréquenté !

 

oui, les supporters se retrouvaient là après les matchs

[GRIFFEDULION]

Des bons souvenirs en effet. Le patron était sympa et remettait à chaque fois sa tournée !
L'établissement a fermé pour des raisons de sécurité et un incendie a fini de l'achever.

[Tool78]

Pour moi il y a un avant et après 2005, année où je quitte la région (1987-2004 je n'ai quasiment raté aucun match au stade, depuis 2005 je vois les matches derrière les écrans et ça change tout en terme d'émotions). 

 

1. FCSM-Alès (3-0), 1987/1988, premier match au stade, avec mon père. Je me rappelle encore où j'étais placé, ce que j'ai ressenti, dans ce vieux stade Bonal qui me semblait immense. 

 

2. Martigues-Sochaux 1998 (à la radio), à un âge où l'on a aucun recul, je vis une joie si intense que je me rappelle encore de cette période très précisément. L'un de mes plus grands bonheurs foot.

 

3. Sochaux - Fiorentina, 1989. Au stade. Stade plein comme un oeuf, Baggio à Bonal. Ambiance si particulière ce jour là, festive, remplie de fierté de voir notre club à ce niveau contre ce qui se fait de mieux en Europe, sentiment décuplé par le fait que je sois un gamin et très impressionné de vivre ça. On jouait en levé de rideau avec les jeunes du club, on a fini dans un car-régie de la télé tellement c'était compliqué pour nous de voir le match en tribunes. Si compliqué de se faufiler pour voir un bout de terrain ! Epuisant à tous points de vue. Souvenir extraordinaire.

 

4. FCSM-Strasbourg 1-1, Au stade. 1998/1999, on est mené, on joue à 9, Maraval et Lang expulsés, on n'a aucune chance de s'en sortir contre Echouafni, Luyindula, Bertin,  Corentin Martins. L'injustice est énorme. On a envie de pleurer, de se rebeller, d'envahir la pelouse. On décide de se rebeller, de chanter, le public répond présent, les joueurs se révoltent, et à 9 on revient au score. On sort de Bonal tellement fiers et heureux. 

 

5. FCSM/Nantes, SDF, 2004, au stade. Placés derrière les buts de la Panenka de Landreau, on vit enfin une finale heureuse après Metz et Monaco. Une sorte de libération. De joie intense mais incomparable avec les sentiments ressentis étant gamin. C'est à la fois du soulagement, de la fierté et le sentiment enfin d'avoir vaicu la malédiction. Un drôle de mélange de plein de sentiments.

 

6. FCSM/OM 2-3 au stade, 1991/1992, on mène 2-1 contre Waddle, Papin, Pelé, Deschamps, Amoros, l'une des performances les plus extraordinaires que j'ai pu voir à Bonal. Folie totale. On chante à gorge déployée dans le Kop. On vibre, on transpire, on est sur le toit du Monde. Et puis tout déraille de façon bizarre. On sort du stade quasi en larmes en ne comprenant pas comment ça a basculé du mauvais côté après avoir été aussi héroïques. Il s'est passé un truc bizarre. Plus tard, on comprendra. 

 

7. Dortmund/FCSM 2-2, au stade, 2003/2004. Le bus qui chante, qui ''refait le match'', le stade à moitié vide mais si immense. C'est vraiment nous qui allons jouer ici ? Jean Fernandez présent en tribunes qui vient échanger avec nous. Les saucisses allemandes englouties en hurlant à l'entrée de nos joueurs pour l'échauffement. Oui c'est bien nous qui allons défier ce club mythique. On ne rêve pas. On est bien là.

 

8. Sochaux-Metz au stade, 1/2 finale CDL, 2003. Match mythique, équipe mythique, ambiance mythique. Je m'en fous alors qu'on gagne la finale ou pas, tout ce que je veux c'est qu'on monte à Paris. Qu'en plus on fasse ça contre eux, ces messins, 15 ans après nous avoir pris la coupe de France. Sentiment exacerbé, une sorte de fureur; le sentiment de vivre un truc qu'il ne faut pas rater. En fait j'ai + vibré je crois contre Mez que lors des finales contre Monaco et Nantes au SDF mais pour l'adrénaline de la victoire au SDF, je place quand-même la finale contre Nantes devant.

 

9. Sochaux-Inter , au stade, 16e de finale Aller Coupe de l'UEFA, 2004. Ce n'est qu'un match aller mais j'en garde + de souvenirs et émotions que la victoire contre Dortmund, également vécue depuis les tribunes. Rien de rationnel à cela. Juste un sentiment incroyable de voir l'Inter à Bonal et ce combat qui a suivi. On les a tellement bousculés. Immense fierté en sortant de Bonal. Fierté, joie, et cette désagréble sensation toutefois qu'on aurait pu gagner et que, peut-être, on ne reverra pas de sitôt un tel Monstre à Sochaux.

 

10. FCSM/PSG 1-0, au stade, 1998/1999, Lama à la relance, un sacré PSG en face, Dallet qui intercepte. Il reste une poignée de secondes à jouer. On est juste derrière le but pour voir ça et on a ce sentiment que l'action dure 1 heure alors qu'elle dure 3 secondes. Ce crochet, ce but, ce stade qui explose, cette libération après tant d'années de galère. Inoubliable

 

[Cun's]

4. FCSM-Strasbourg 1-1, Au stade. 1998/1999, on est mené, on joue à 9, Maraval et Lang expulsés, on n'a aucune chance de s'en sortir contre Echouafni, Luyindula, Bertin, Corentin Martins. L'injustice est énorme. On a envie de pleurer, de se rebeller, d'envahir la pelouse. On décide de se rebeller, de chanter, le public répond présent, les joueurs se révoltent, et à 9 on revient au score. On sort de Bonal tellement fiers et heureux.

Koffiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Fiawooooooooooooo!...

[Angus90]

 

4. FCSM-Strasbourg 1-1, Au stade. 1998/1999, on est mené, on joue à 9, Maraval et Lang expulsés, on n'a aucune chance de s'en sortir contre Echouafni, Luyindula, Bertin, Corentin Martins. L'injustice est énorme. On a envie de pleurer, de se rebeller, d'envahir la pelouse. On décide de se rebeller, de chanter, le public répond présent, les joueurs se révoltent, et à 9 on revient au score. On sort de Bonal tellement fiers et heureux.

Koffiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Fiawooooooooooooo!...

 

Fiawoo, qu'est-ce que j'ai pu planté de buts avec lui sur Fifa 1999. Bien meilleur dans le jeu qu'en réalité.

[Levieux]

Le Sochaux PSG 3/2 contre Ibra quel souvenir aussi..Des copains alsaciens qui m'appellent le lendemain qui étaient aussi heureux que moi de voir Sochaux taper le psg...

[donyphan]

Sans trop réfléchir et comme les souvenirs me viennent
1) Finale Coupe de France 2007 Sochaux/OM vécu dans le virage jaune et bleu au stade.
2) Finale Coupe de la ligue 2004 contre Nantes!
3) Le déplacement à San Siro pour affronter l'Inter (même si élimination et 0-0). Quel stade!
4) Un 4-0 contre Nice à Bonal époque Martin/Boudebouz. Un pur régal du début à la fin, des buts magnifiques. L'impression d'avoir vu le Brésil.
5) Un Sochaux/Brest à Bonal où Richert sort sur blessure (remplacé par Papa Demba Camara...) et où on est mené. Tout semble être contre nous. On renverse finalement tout dans le dernier 1/4 d'heure et on gagne 2-1 sur un but de la tête de Privat. Victoire qui nous relance dans la course au maintien. Le souvenir d'une belle communion !
6) La réception de l'Olympiakos sous un climat pôlaire à Bonal. Juste pour avoir vu un Rivaldo, qui m'avait tant fait rêver, jouer à Bonal. Le match n'était pas terrible par contre.
7) Mon 1er match à Bonal avec mon grand-père. Une défaite 0-1 contre les Girondins de Bordeaux en 93. Malgré Silvestre, Henry, Cavéglia... Dans l'équipe d'en face, Lizararu, Dugarry et Zidane !
8) Paris FC/Sochaux en play-off et le but de DCT. Pour le scénario improbable, le but magnifique et la joie collective !
Et 2 défaites 0-3 pour finir...
9) Sochaux/Évian. Pour l'effervescence d'avant-match autour et à l'intérieur de Bonal, le fol espoir et l'infinie tristesse. Souvenir très douloureux mais forcément dans le top 10.
10) Sochaux/Goal FC à l'été 2023. Tellement soulagé et heureux de retrouver Bonal après avoir passé un été à croire que tout était fini.