79 réponses à ce sujet

[jb25]

4-2-4 ????

Ok merci.

[Le pote au laid]

4-2-4 ????

Plutôt 4-3-3 non?

Sauf dans la dernière demi-heure du Fcsm-Fiorentina où, pour tenter d'arracher la qualification, Takac nous avait offert un 2-3-5 inédit !

[ilan the best]

 

 

Le FC Sochaux 87-88, certes en D2, de Takac, Paille, Hadzi, Bazda, Sauzée, Rousset, Sylvestre etc, en terme de jeu et de stat était extraordinnaire.
Des stats à faire pâlir le PSG de l'ère qatarie : 29 victoires, 3 nuls 2 défaites, 97 buts marqués, 17 buts encaissés. Cette saison nous ne nous rendions pas à Bonal avec la crainte d'une éventuelle contre-performance de Sochaux. Le pronostic était plutôt d'évaluer combien allait en prendre le malheureux adversaire du jour. Jugez plutôt : 1ère J Sochaux - Orléans 4-0, 3ème J : Sochaux - Chatellerault 4-0 ; 5ème J Sochaux - Grenoble 5-0 ; 7ème J Sochaux - Istres 6-0. Tout ceci entrecoupé d'une victoire historique 7-1 à Gerland pour la première année à la présidence de l'OL de JM Aulas.
Cette équipe fut également finaliste de la coupe de France, de surcroit par matches aller-retour à l'époque, après avoir éliminé le PSG (Paris en avait pris 6 au passage), Montpellier, Lens et Nice.
Cette équipe n'avait rien à faire en D2 tant elle écrasait tout sur son passage.
Mes seuls regrets pour rendre la saison encore plus remarquable : que nous n'ayons pas gagné la CDF (perdue aux tab) et le titre honorifique de champion de D2 (l'équipe avait déjà la tête à la finale de la CDF). L'effectif était restreint et semblait émoussé en fin de parcours.
Je ne suis pas sûr que nous puissions connaître à nouveau de telles émotions.
Je terminerai mon commentaire en ayant une pensée également pour le regretté Stéphane Paille, grand artisan de cette saison exceptionnelle.

Je n'ai pas connu cette période. Car né en 1990. Mai j'ai déjà vu des vidéos. Et bien pour moi, avec la Génération Pedretti, ce fut la plus belle Génération qu'ait eu le club. Devant la Génération Genghini.

Sauf que la génération Genghini fait une demi de coupe UEFA (autrement plus cotée à l'époque que l'Europa League aujourd'hui) et qu'elle aurait pu et dû (avec le même arbitrage que son adversaire) être sacrée championne de France au terme de la saison 79/80 avec un doublé coupe de France en prime. Donc, elle est et restera encore très longtemps (sauf investissement massif d'un émir boursouflé) la plus grande équipe sochalienne d'après guerre.

 

Je confirme en long en large et en travers.

 

On peut ajouter pour parler des joueurs en particulier, que la génération Genghini, c'est aussi Bats champion d'Europe 84 avec l'EDF et demi-finaliste du mondial 86, Rust champion olympique en 84 et troisième du mondial 86, Stopyra élu meilleur avant-centre du mondial 86 dont il est demi-finaliste et Genghini donc, deux fois demi-finaliste du mondial en 82 et 86. Ces quatre joueurs formés à Sochaux ont donc cotoyé les sommets du football mondial.

Bref, du très lourd comparé à la génération Pedretti en terme de carrière.

[ilan the best]

 

 

4-2-4 ????

Plutôt 4-3-3 non?

Sauf dans la dernière demi-heure du Fcsm-Fiorentina où, pour tenter d'arracher la qualification, Takac nous avait offert un 2-3-5 inédit !

 

 

Quelle mémoire!
J'y étais mais de ça, je ne m'en souviens plus. De cette double confrontation, j'ai surtout le souvenir du but de la tête (of course) refusé à Oudjani à Pérouse au match aller à la dernière minute ou presque pour un hors-jeu imaginaire (dommage, la VAR n'existait pas à l'époque) Sans cela, je pense qu'on passait.

Au retour, c'est la formidable ambiance qu'avait mise les ultras florentins avec, entre autres, des "violas, violas" répétés à l'infini sur un air de Verdi, qui est surtout restée dans ma mémoire, ainsi que la chance d'avoir pu voir évoluer l'immense Roberto Baggio.

Ah oui, j'oubliais aussi l'attentat sur Lucas qui nous a valu d'évoluer en supériorité numérique presque tout le match, en vain.

[Le pote au laid]

Oui j'étais là aussi dans un vieux Bonal plein comme un oeuf et mis aux normes UEFA à la dernière minute (les barres d'appui installés en populaire et secondes pour éviter un scénario type Heysel 85). Roberto Baggio n'était pas encore ballon d'or mais on le savait déjà destiné à un bel avenir. Et oui, le but refusé à Pérouse (où le match avait été exporté pour cause de travaux à Florence) sans aucune raison (du moins sportive) eût pu changer la donne au retour et nous offrir un remake de 81. Dommage...

[Clyde]

La seule explication (truandage exclu) sur ce but refusé serait un Oudjani qui revient d'une position de hors-jeu car de mémoire, on ne voit pas clairement la position du joueur au départ de la balle.

La vidéo:  https://www.youtube....h?v=6oioWn7dYgQ

A l'époque, le hors-jeu se jugeait sur la même ligne et là, quand Oudjani apparaît à l'écran, on peut s'interroger sur sa position au départ, d'autant que le ballon est parti depuis un petit moment.

[Le pote au laid]

Réaliser le hold-up parfait (avec un très grand Gilles Rousset ce soir-là) en terre italienne eût été à l'époque un exploit.

[LouisBMX11]

Il me semble que l'arbitre siffle pour une faute de Silvestre sur le but d'Oudjani. Faute imaginaire, bien entendu.

[perrin]

Je ne sais pas s'il y a eu une explication de quelqun un jour sur ce but refusé ? Dans la presse de l'époque ? L'arbitre n'a jamais rien dit j'imagine... 

[- DB -]

La VAR n'aurait rien changé puisqu'il avait été décidé que Sochaux ne marquerait pas.

[jb25]

 

 

 

Le FC Sochaux 87-88, certes en D2, de Takac, Paille, Hadzi, Bazda, Sauzée, Rousset, Sylvestre etc, en terme de jeu et de stat était extraordinnaire.
Des stats à faire pâlir le PSG de l'ère qatarie : 29 victoires, 3 nuls 2 défaites, 97 buts marqués, 17 buts encaissés. Cette saison nous ne nous rendions pas à Bonal avec la crainte d'une éventuelle contre-performance de Sochaux. Le pronostic était plutôt d'évaluer combien allait en prendre le malheureux adversaire du jour. Jugez plutôt : 1ère J Sochaux - Orléans 4-0, 3ème J : Sochaux - Chatellerault 4-0 ; 5ème J Sochaux - Grenoble 5-0 ; 7ème J Sochaux - Istres 6-0. Tout ceci entrecoupé d'une victoire historique 7-1 à Gerland pour la première année à la présidence de l'OL de JM Aulas.
Cette équipe fut également finaliste de la coupe de France, de surcroit par matches aller-retour à l'époque, après avoir éliminé le PSG (Paris en avait pris 6 au passage), Montpellier, Lens et Nice.
Cette équipe n'avait rien à faire en D2 tant elle écrasait tout sur son passage.
Mes seuls regrets pour rendre la saison encore plus remarquable : que nous n'ayons pas gagné la CDF (perdue aux tab) et le titre honorifique de champion de D2 (l'équipe avait déjà la tête à la finale de la CDF). L'effectif était restreint et semblait émoussé en fin de parcours.
Je ne suis pas sûr que nous puissions connaître à nouveau de telles émotions.
Je terminerai mon commentaire en ayant une pensée également pour le regretté Stéphane Paille, grand artisan de cette saison exceptionnelle.

Je n'ai pas connu cette période. Car né en 1990. Mai j'ai déjà vu des vidéos. Et bien pour moi, avec la Génération Pedretti, ce fut la plus belle Génération qu'ait eu le club. Devant la Génération Genghini.

Sauf que la génération Genghini fait une demi de coupe UEFA (autrement plus cotée à l'époque que l'Europa League aujourd'hui) et qu'elle aurait pu et dû (avec le même arbitrage que son adversaire) être sacrée championne de France au terme de la saison 79/80 avec un doublé coupe de France en prime. Donc, elle est et restera encore très longtemps (sauf investissement massif d'un émir boursouflé) la plus grande équipe sochalienne d'après guerre.

 

Je confirme en long en large et en travers.

 

On peut ajouter pour parler des joueurs en particulier, que la génération Genghini, c'est aussi Bats champion d'Europe 84 avec l'EDF et demi-finaliste du mondial 86, Rust champion olympique en 84 et troisième du mondial 86, Stopyra élu meilleur avant-centre du mondial 86 dont il est demi-finaliste et Genghini donc, deux fois demi-finaliste du mondial en 82 et 86. Ces quatre joueurs formés à Sochaux ont donc cotoyé les sommets du football mondial.

Bref, du très lourd comparé à la génération Pedretti en terme de carrière.

 

Et la Génération Paille tu la place où ?

[Le pote au laid]

Derrière les lionceaux 79/82, et légèrement devant l'équipe de Pedretti 2003/04. Mais il est compliqué de comparer les époques.

[LouisBMX11]

Et on est pas prêt de voir une nouvelle génération, les jeunes joueurs ne restent pas, n ont plus la patience et l horizon du club ne les engage pas à rester. Faut mettre les moyens pour que ça prenne. Et là, on en est loin.

[ilan the best]

Et la Génération Paille tu la place où ?

 

A égalité avec celle de Pedretti. On parle bien là juste des sochaliens formés au club, pas des équipes.

Sur le plan du talent pur, je dirais que la génération Paille est un chouïa au-dessus de celle de Pedretti.

Mais l'immense mérite des Frau, Monsoreau et Cie est d'avoir rouvert une armoire des trophées fermée depuis 1938.

[jb25]

 

Et la Génération Paille tu la place où ?

 

A égalité avec celle de Pedretti. On parle bien là juste des sochaliens formés au club, pas des équipes.

Sur le plan du talent pur, je dirais que la génération Paille est un chouïa au-dessus de celle de Pedretti.

Mais l'immense mérite des Frau, Monsoreau et Cie est d'avoir rouvert une armoire des trophées fermée depuis 1938.

 

La Génération Paille a aussi son trophée. Championne de France de ligue 2 87-88.

[Le pote au laid]

Et la Génération Paille tu la place où ?

A égalité avec celle de Pedretti. On parle bien là juste des sochaliens formés au club, pas des équipes.
Sur le plan du talent pur, je dirais que la génération Paille est un chouïa au-dessus de celle de Pedretti.
Mais l'immense mérite des Frau, Monsoreau et Cie est d'avoir rouvert une armoire des trophées fermée depuis 1938.

La Génération Paille a aussi son trophée. Championne de France de ligue 2 87-88.

Non. Elle a terminé 1ere de son groupe. La division 2 comptait alors 2 groupes. Les premiers de chaque groupe s'affrontaient ensuite, après la fin du championnat, pour décerner le titre honorifique de champion de D2 en matchs aller-retour. Bref, au final on a perdu le titre face à Strasbourg, qui nous était très largement inférieur. Sauf qu'on avait encore une demi et une finale de coupe de France à disputer et qu'il fallait qu'on fasse tourner l'effectif et qu'on lève le pied. La coupe était autrement plus importante qu'un titre honorifique. Bref, pas de titre pour cette génération, comme pour sa glorieuse aînée de 79/80.

[LouisBMX11]

Ils ont eu la Gambardella, en tout cas les jeunes du centre. Et l’Euro espoirs (équipe de France à forte présence sochalienne). Et même champion d Europe junior (4 sochaliens)

[Le pote au laid]

Certes. Mais pour l'équipe A du FCSM nada et c'était pourtant au moins aussi mérité qu'en 2004 et probablement plus qu'en 2007. C'est la dure loi du sport !

[jb25]

Tout sur la philosophie du City Group avec Erick Momberts dans l'after.

 

[AceOfBonal]

Pour en revenir au topic. Personnellement j'aime le jeu de contre façon Dd avec l'équipe de France ou façon Italie de la grande époque. Le contre est un art, il faut des joueurs qui font les bon choix extrêmement rapidement et les bonnes courses. Apres pour avoir un beau match il faut éviter d'avoir deux équipes de contre qui jouent l'une contre l'autre. Le style Daf me convient j'aime voir les joueurs partir de loin et se projeter vers l'avant, avec Pedretti et Frau on avait du lourd pour les contre le passeur et la fusée. j'aime la prise de profondeur le jeu en rupture comme disent les suisses. Le jeu espagnol me fait penser à la corrida on tourne autour de l'adversaire jusqu'à l'épuisement et on le tue... ce n'est pas mon truc. j'aimais beaucoup le jeu d'Auxerre pendant leur époque Gui Roux. J'ai pris mon pied le jour ou on a battu le PSG 3 à 2. on a pas eu la possession mais on a été efficaces à chaque prise de balle. La conviction mise dans chacun des gestes des joueurs a fait la différence.