Ou pas bien.
La hiérarchie n'est pas claire, les non-titulaires peuvent se trouver les égaux des titulaires, la frustration grandir, coïncider avec les premières défaites, l'édifice se fissurer, l'édifissurer contracterais-je plus volontiers que la CoviD,..
Gérer un club de foot, c'est essayer de canaliser un flot impétueux qui va au U et au Dia, qui ourdit davantage de complots contre ses propres officiers que de plans pour conquérir la redoute de Rouen.
Gérer un club de foot c'est mettre en musique le carnaval des frustrations avec la samba des exaltations.
Si c'était simple, Nice réussirait.